je m attarde sur ces deux différentes cicatrices (hypertrophique et cheloidïenne)
la cicatrice hypertrophique CH : elle reste cantonnée aux limites du traumatisme initial et guérit progressivement en 12 à 18 mois.
alors que la cicatrice chéloïdienne CC : elle n’évolue presque jamais spontanément vers la guérison, et son extension se fait au-delà des limites du traumatisme initial.
JUS D’ UNE GOUSSE D’ AIL
L’ ail agit comme un anti-inflammatoire et semble bloquer la surproduction de collagène sur les cicatrices. Il a un effet bénéfique sur les cicatrices chéloïdes.
Comment procéder ?
Emincez une gousse d’ail pour en presser le jus puis appliquez-le sur votre cicatrice refermée en cours de cicatrisation, à l’aide d’un coton, plusieurs fois par jour.
Renouvelez l’application tous les jours pendant 1 à 3 semaines. Ce jus peut assécher la peau, pensez à l’hydrater après application
LE JUS DE FEUILLES DE PLANTAIN
Le jus, obtenu en froissant quelques feuilles de plantain ayant trempé au préalable dans un peu d’eau, a une action anti-inflammatoire et cicatrisante.
Comment procéder ?
Appliquez le liquide sur votre cicatrice encore ouverte ou fraîchement refermée afin d’en accélérer la guérison. Ce remède naturel fonctionne aussi pour apaiser les piqûres d’insecte. A renouveler sur 2 à 3 jours.
LE BICARBONATE DE SOUDE
Comment procéder ?
Mélangez du bicarbonate de soude avec un tout petit peu d’eau pour constituer une pâte. Si vous le diluez trop, le bicarbonate ne sera pas applicable. Uniquement sur plaie refermée,
appliquez la pâte directement sur la peau pour accélérer le processus de guérison et réduire l’inflammation. Répétez l’opération deux à trois fois par semaine pour un résultat visible. A faire sur 2 à 3 mois.